Ca chauffe dans le camion, ça décuve aussi, Dj bob au iPod et Master Yukmouth au volant, la méditerranée est en vue. On résiste pas à aller la voir de plus près, mais à peine arrivés, faut aller au bar pour décharger, l’organisateur nous attend.
Montpellier, c’est un belle ville, avec la circulation la plus pourrie de l’Histoire de la circulation. Bon, on comprend que l’urbaniste qui a conçu ça ait pas forcement pensé aux groupes de rock qui doivent décharger une tonne de matos dans une petite rue paumée, mais là … bref, on doit, à la demande de l’organisateur du concert, qu’on a rejoint, négocier avec le flic au bout du petit haut parleur de l’entrée de la rue pour le déscendage du plot nous séparant de l’objectif. Sans succès de notre part, il négocie à son tour, (sur un ton tel que si j’étais le gardien de la paix en question, je lui aurais répondu d’aller se faire bien foutre). Surprise, la voix à l’accent du sud nous laisse passer. On décharge, (Zig se charge … ), premier effet kisskool: une odeur de gerbe recouverte de produit à sol bon marché nous prend à la gorge. "Oh, ici c’est le seul endroit où on peut encore faire des free party, hier y en avait une, y eu les flics, y a eu de l’embrouille …" explique M.Jad, qu’on connait maintenant depuis 10 minutes. Deuxieme surprise, y a une jolie sono nickel qui nous prend au dépourvu, contrairement à ce qu’avait subodoré le man au téléphone la veille . "On s’est appellés hier ???" répond-t-il interloqué . (4 fois + 1 message pour la petite histoire … ). "Normalement, bon, ça arrive pas souvent, mais il risque d’y avoir personne ce soir, y a pein de festoches gratos dans le coin, mais bon, l’essentiel, c’est que vous vous fassiez plaisir … ". Effectivement, Lofo au rockstore ça fait de la bonne concurence, mais bon ça aurait peut être vallu le coup de faire un peu de com (et non pas juste … rien) ou contacer un groupe local … "Bon, pour boire un coup, bon, ce qu’on fait d’habitude, c’est 2 bières par personne, mais là, le manager a changé, et je sais pas comment ça va se faire, je serai pas là, y a une copine qui revient, je l’ai pas vue depuis longtemps, donc, si il y a un problème, vous m’appellez, mais je préferrerais pas si vous voyez ce que je veux dire. Allez, les entrées, vous avez qu’à les faire là, bonne soirée, à la prochaine !". La, c’est le dernier effet fresh du gentil Jad qui nous prend … pour des cons.
Une envie de se barrer, mais tant qu’on y est, on y est.
Un passage aux nouveaux locaux du Garage Electrique, voir des Orléanais exilés au soleil, poser le camion et se remonter le moral. Grand local, super classe, même en cours d’installation. On file à la plage.
Putain on est bien ici, la mer est chaude, y a même des surfers … mort de rire … Le haut de maillot de bain doit être en option … tant mieux … la mer est chaude … Zig est à poil dans l’eau .. est ce qu’on lui rend son calbut ? … Willy t’es trop gentil … et merde, on reprend le matos, on se branche sur le transfo du camion et on fait un concert sur la plage … bon, on y retourne.
Un sandwich américain, c’est pas meilleur à Montpellier. Par contre, le nombre de jolies filles qui passent à la seconde est assez impressionnant, mais je m’égare… "show business !!! … une glace pour le Zig man !!!! " . "Vanille fraise style ?" répond le glacier …
Retour au Peanuts. Personne. Pas grave, on nous a dit qu’on pouvait "attendre qu’il y ait du monde avant de commencer si on voulait". On commence donc, on jouera pour Moe qui nous a loupé la veille, et pour le barman (avant qu’il parte emmener Zig dehors sur ordre du patron, qui appréciait pas ses travaux manuels en face de la caméra …). Dommage, le lieu a un gros potentiel : un bar à l’étage, un bar avec la salle de concert au sous sol, ça peut bien accueillir une centaine de personnnes, bref, si seulement … au tour des Devon de jouer pour nous, en cette grosse repet à 600 bornes de chez nous. Les salauds … ils ont réussi à attirer 8 personnes (les orléanais sus cités et leur amis … ) qui arrivent pour les 5 dernières chansons, ce qui est déjà pas mal. Du coup, on en refait deux l’histoire de dire que des montpellierains nous ont vus jouer et on remballe. Les flics font une descente dans la rue, ils embarquent les bagnoles. Bob part chercher le camtar, et le patron (un anglais qui ressemblait à Ovide ( pv pour les boumiens)) nous paie des bières. Il a repris le peanuts que depuis deux jours, et la veille, une fille s’est faite trancher la gorge ici avant de partir à l’hosto ( … normal). Plutôt tranquille comme gars, même si il a tendance à jurer en anglais contre ces "fuckin’ cops" qui viennent de lui embarquer sa caisse. En plus, pas moyen de ramener le van devant. On se tape donc les 100 m de montée pour ramener tout le matos, (dont la sono qui a servi à rien) et se casser vite fait poser tout et filer au rockstore pour oublier tout ça. La fin, c’est flou, à base de teq paf, de billard, de serveuses canons et de bières trop chères, d’ambiancage avec Vince et de tentative de négociation de champagne pour une denière Zaguerie du week-end, avant de retourner se pieuter dans le centre ville.
Et voilà, 600 bornes plus tard (big up à Paulo le chauffeur-hero) back in "Orlin’s city" après un retour calme pour clore un week end bien mouvementé.
Merci aux Clermontois, au paté Lidel, au ceintre, à Renault, à Burger Bier, aux autoroutes du sud, à nos hôtes Montpellierains, aux chats, à RMC, au MacRo du midi, et du soir, et à bientôt pour de nouvelles aventures.
Une envie de se barrer, mais tant qu’on y est, on y est.
Un passage aux nouveaux locaux du Garage Electrique, voir des Orléanais exilés au soleil, poser le camion et se remonter le moral. Grand local, super classe, même en cours d’installation. On file à la plage.
Putain on est bien ici, la mer est chaude, y a même des surfers … mort de rire … Le haut de maillot de bain doit être en option … tant mieux … la mer est chaude … Zig est à poil dans l’eau .. est ce qu’on lui rend son calbut ? … Willy t’es trop gentil … et merde, on reprend le matos, on se branche sur le transfo du camion et on fait un concert sur la plage … bon, on y retourne.
Un sandwich américain, c’est pas meilleur à Montpellier. Par contre, le nombre de jolies filles qui passent à la seconde est assez impressionnant, mais je m’égare… "show business !!! … une glace pour le Zig man !!!! " . "Vanille fraise style ?" répond le glacier …
Retour au Peanuts. Personne. Pas grave, on nous a dit qu’on pouvait "attendre qu’il y ait du monde avant de commencer si on voulait". On commence donc, on jouera pour Moe qui nous a loupé la veille, et pour le barman (avant qu’il parte emmener Zig dehors sur ordre du patron, qui appréciait pas ses travaux manuels en face de la caméra …). Dommage, le lieu a un gros potentiel : un bar à l’étage, un bar avec la salle de concert au sous sol, ça peut bien accueillir une centaine de personnnes, bref, si seulement … au tour des Devon de jouer pour nous, en cette grosse repet à 600 bornes de chez nous. Les salauds … ils ont réussi à attirer 8 personnes (les orléanais sus cités et leur amis … ) qui arrivent pour les 5 dernières chansons, ce qui est déjà pas mal. Du coup, on en refait deux l’histoire de dire que des montpellierains nous ont vus jouer et on remballe. Les flics font une descente dans la rue, ils embarquent les bagnoles. Bob part chercher le camtar, et le patron (un anglais qui ressemblait à Ovide ( pv pour les boumiens)) nous paie des bières. Il a repris le peanuts que depuis deux jours, et la veille, une fille s’est faite trancher la gorge ici avant de partir à l’hosto ( … normal). Plutôt tranquille comme gars, même si il a tendance à jurer en anglais contre ces "fuckin’ cops" qui viennent de lui embarquer sa caisse. En plus, pas moyen de ramener le van devant. On se tape donc les 100 m de montée pour ramener tout le matos, (dont la sono qui a servi à rien) et se casser vite fait poser tout et filer au rockstore pour oublier tout ça. La fin, c’est flou, à base de teq paf, de billard, de serveuses canons et de bières trop chères, d’ambiancage avec Vince et de tentative de négociation de champagne pour une denière Zaguerie du week-end, avant de retourner se pieuter dans le centre ville.
Et voilà, 600 bornes plus tard (big up à Paulo le chauffeur-hero) back in "Orlin’s city" après un retour calme pour clore un week end bien mouvementé.
Merci aux Clermontois, au paté Lidel, au ceintre, à Renault, à Burger Bier, aux autoroutes du sud, à nos hôtes Montpellierains, aux chats, à RMC, au MacRo du midi, et du soir, et à bientôt pour de nouvelles aventures.
…et aux gros bras de papiwillyleplugentidérody 😉
……c’est pas faux !
c’est vrai ca merde ! Longue vie à Wil man !!